Vous avez sûrement remarqué des changements incroyables sur ce blogue. En effet, j'ai ajouté un BLOGROLL et un TRUC QUI COMPTE LES VISITEURS!!
Je suis SI fière de moi! Je l'ai fait toute seule!
En passant, je donne un bec à mon 50e visiteur! Il faut se fixer des objectifs réalistes...
Prochaine étape : trouver c'est quoi et comment ça marche les trucs RSS...
28 juin 2007
27 juin 2007
Météo-Média s'excuse d'avoir omis d'annoncer un DÉLUGE!
Dans mon patelin, il y a une très longue rue qui traverse la quasi-totalité de la ville. On l'appelle la rue St-Laurent et, étonamment, elle longe le fleuve du même nom. Mais, au bout de cette rue, vient le moment où il faut faire un choix: «virer de bord» ou continuer vers l'infini et plus loin encore. La semaine passée, moi et mon amie (qui est connue sur ce blog sous le nom de Reine du Sarcasme), avons choisi la deuxième option. Nous nous lançames donc sur une route sinueuse de campagne qui devait nous apporter à St-Henri (allez voir sur Google Earth, il y a un carrefour giratoire, c'est pittoresque). Tout se déroulait bien, c'était sinueux et ennuagé mais rien pour effrayer une rutilante Mazda Cronos et deux filles qui n'ont peur de rien, de toute manière.
Nous placotiâmes gaiement pour finalement arriver à l'église de St-Henri. Big deal. Nous avons donc décidé de prendre une route qui nous semblait pleine de promesses car une charmante pancarte nous indiquait qu'elle nous amènerait à St-Jean-Chrysostome (pas la peine d'aller voir sur Google Earth) et nous pourrions ainsi facilement retourner chez nous. Tout se passait bien, on ne manquait toujours pas de sujets de conversation quand, brusquement, le ciel s'obsurcit et de grosses gouttes d'eau vinrent s'écraser sur le windshield. Un peu de pluie, voilà tout. Mais peu de temps après, la pluie se fit de plus en plus insistante et elle tombait avec une telle vigueur sur la vrombissante Mazda Cronos que même la plus haute vitesse des wipers ne suffisait plus à la tâche. Pour nous, ce n'était qu'une petite ondée, une grosse averse qui ne durerait pas longtemps. Pour plus de prudence, nous décidâmes de s'arrêter dans le stationnement du casse-croûte «Le p'tit castor» et d'attendre la fin des précipitations. La pluie tombait avec une telle force que nous étions certaines que cela passerait rapidement.
Comme nous avions tort.
Nous sommes restées au moins 20 minutes dans ce stationnement et la pluie n'avait toujours pas diminué. Nous reprîmes donc la route, en roulant à une vitesse moyenne de 25 km/h avec le nez collé dans la vitre pour essayer d'y voir quelque chose et c'est là que nous avons finalement compris que ce qui nous tombait dessus n'était pas qu'une petite ondée passagère. C'était le déluge. Total. On ne pouvait rouler dans la voie de droite car elle était pleine d'eau, un vrai lac. Mais nous continuâmes notre lente progression qui nous amena en terrain connu, soit à la fin de St-Jean-Chrysostome. On pouvait même voir la route qui nous ramènerait sécuritairement jusque chez nous. Il ne nous restait plus qu'à monter la côte.
Deuxième erreur.
En s'approchant de la côte, nous vîmes que plusieurs voitures étaient «sur les 4 flash» dans le bas. Nous crûmes à un accident, un accrochage dû aux mauvaises conditions mais soudain, nous comprîmes. Les voitures étaient coincées dans le bas de la côte car il y avait tellement d'eau qui descendait la côte que cela créait un courant qui les empêchait de monter.
C'est à ce moment que nous comprîmes que nous ne faisions pas face à un banal déluge: c'était l'inondation.
Nous entreprîmes donc de passer par toutes les petites rues avoisinantes qui pourraient nous amener à la 132, route de nos rêves. Il y avait toujours de plus en plus d'eau, au moins jusqu'à la moitié des roues, et il n'était plus question pour nous de faire un stop. Mais l'éclatante Mazda Cronos nous mena tant bien que mal jusqu'aux abords de St-Romuald (ce qui est très près de la maison). Nous arrivâmes finalement à une intersection qui nous permettait de prendre la 132 et de filer joyeusement jusqu'à notre home sweet home. Mais attention, j'ai dit que l'intersection nous le permettait mais l'eau qui s'accumulait, elle, ne nous permettait de rien faire. Nous ne pouvions pas tourner car il y avait une telle mare au bord de la rue que s'y aventurer aurait signifié la mort certaine de l'éblouissante Mazda Cronos. Nous ne pouvions embarquer sur la 132!! Nous dûmes continuer tout droit et s'enfoncer encore plus dans les quartiers de St-Romuald. Nous essayions tant bien que mal de «virailler» dans les rues afin d'en trouver une qui soit assez sèche pour nous laisser atteindre la 132, mais à chaque intersection, l'eau ne faisait qu'augmenter et inondait même les terrains des gens. Nous tournâmes dans une rue pour se rendre compte que c'était le fin: la mare, que dis-je, le lac final. Un pick-up réussit à traverser cette fameuse mare de peine et de misère et avec de l'eau qui engloutissait complètement les roues.
Mais qu'allions-nous faire!!! Serait-ce la fin pour Fausse-Artiste et la Reine???
Nous nous apprêtions à reculer lorsqu'un homme nous fit signe de rentrer dans sa cour et de venir nous mettre à l'abri chez lui. Ô le sauveur! Le temps de se stationner dans son entrer, de sortir de l'auto et l'eau avait déjà envahit la moitié de son terrain. Oui, oui comme à la télé, avec les gens en canot!! Nous avons donc appelé nos parents pour leur dire :«Maman, chu pris à St-Romuald!! C'est la tempête du siècle!» et ils ont jugé bon de nous répondre :«Ben là pour vrai? Il a à peine mouillé ici à Lévis.» Hé ho!! Vos enfants sont pris quelque part! La Reine et moi avons donc passé 45 minutes chez deux étrangers extrêmement convivial, des gens vraiment gentils qui nous ont donné du café et qui ont eu pitié de nous. Bon, je l'avoue, j'aurais préféré que des pompiers en torse viennent nous secourir du lac dans lequel on était pris mais, dans une situation de crise, on prend l'aide qui passe! Mais on en a tout de même profité pour prendre des photos des gens qui se promenaient dans les rues en «bottes à vache» avec de l'eau jusqu'aux genoux. Je vous le dis, jusqu'aux genoux! Les voisins du couple qui nous a rescapé ont même eu leur sous-sol inondé!
Mais, l'eau a commencé à redescendre, les rues étaient quasi sèches et nous sommes donc retournées paisiblement à notre Lévis natal. Et puisqu'on est dans les confidences, je dois avouer que j'ai aimé cette expérience!! Moi et la Reine étions deux vraies pro de la route, nous prenions des décisions sans paniquer et on a même pas pleuré! Je connais des gars qui auraient pleurniché un brin dans une telle situation! Ou qui aurait pris des décisions de gars comme: «Ben oui manne ta Civic passe salement dans ce trou d'eau-là! Sti t'es un homme, ça passe!» ;)
Nous placotiâmes gaiement pour finalement arriver à l'église de St-Henri. Big deal. Nous avons donc décidé de prendre une route qui nous semblait pleine de promesses car une charmante pancarte nous indiquait qu'elle nous amènerait à St-Jean-Chrysostome (pas la peine d'aller voir sur Google Earth) et nous pourrions ainsi facilement retourner chez nous. Tout se passait bien, on ne manquait toujours pas de sujets de conversation quand, brusquement, le ciel s'obsurcit et de grosses gouttes d'eau vinrent s'écraser sur le windshield. Un peu de pluie, voilà tout. Mais peu de temps après, la pluie se fit de plus en plus insistante et elle tombait avec une telle vigueur sur la vrombissante Mazda Cronos que même la plus haute vitesse des wipers ne suffisait plus à la tâche. Pour nous, ce n'était qu'une petite ondée, une grosse averse qui ne durerait pas longtemps. Pour plus de prudence, nous décidâmes de s'arrêter dans le stationnement du casse-croûte «Le p'tit castor» et d'attendre la fin des précipitations. La pluie tombait avec une telle force que nous étions certaines que cela passerait rapidement.
Comme nous avions tort.
Nous sommes restées au moins 20 minutes dans ce stationnement et la pluie n'avait toujours pas diminué. Nous reprîmes donc la route, en roulant à une vitesse moyenne de 25 km/h avec le nez collé dans la vitre pour essayer d'y voir quelque chose et c'est là que nous avons finalement compris que ce qui nous tombait dessus n'était pas qu'une petite ondée passagère. C'était le déluge. Total. On ne pouvait rouler dans la voie de droite car elle était pleine d'eau, un vrai lac. Mais nous continuâmes notre lente progression qui nous amena en terrain connu, soit à la fin de St-Jean-Chrysostome. On pouvait même voir la route qui nous ramènerait sécuritairement jusque chez nous. Il ne nous restait plus qu'à monter la côte.
Deuxième erreur.
En s'approchant de la côte, nous vîmes que plusieurs voitures étaient «sur les 4 flash» dans le bas. Nous crûmes à un accident, un accrochage dû aux mauvaises conditions mais soudain, nous comprîmes. Les voitures étaient coincées dans le bas de la côte car il y avait tellement d'eau qui descendait la côte que cela créait un courant qui les empêchait de monter.
C'est à ce moment que nous comprîmes que nous ne faisions pas face à un banal déluge: c'était l'inondation.
Nous entreprîmes donc de passer par toutes les petites rues avoisinantes qui pourraient nous amener à la 132, route de nos rêves. Il y avait toujours de plus en plus d'eau, au moins jusqu'à la moitié des roues, et il n'était plus question pour nous de faire un stop. Mais l'éclatante Mazda Cronos nous mena tant bien que mal jusqu'aux abords de St-Romuald (ce qui est très près de la maison). Nous arrivâmes finalement à une intersection qui nous permettait de prendre la 132 et de filer joyeusement jusqu'à notre home sweet home. Mais attention, j'ai dit que l'intersection nous le permettait mais l'eau qui s'accumulait, elle, ne nous permettait de rien faire. Nous ne pouvions pas tourner car il y avait une telle mare au bord de la rue que s'y aventurer aurait signifié la mort certaine de l'éblouissante Mazda Cronos. Nous ne pouvions embarquer sur la 132!! Nous dûmes continuer tout droit et s'enfoncer encore plus dans les quartiers de St-Romuald. Nous essayions tant bien que mal de «virailler» dans les rues afin d'en trouver une qui soit assez sèche pour nous laisser atteindre la 132, mais à chaque intersection, l'eau ne faisait qu'augmenter et inondait même les terrains des gens. Nous tournâmes dans une rue pour se rendre compte que c'était le fin: la mare, que dis-je, le lac final. Un pick-up réussit à traverser cette fameuse mare de peine et de misère et avec de l'eau qui engloutissait complètement les roues.
Mais qu'allions-nous faire!!! Serait-ce la fin pour Fausse-Artiste et la Reine???
Nous nous apprêtions à reculer lorsqu'un homme nous fit signe de rentrer dans sa cour et de venir nous mettre à l'abri chez lui. Ô le sauveur! Le temps de se stationner dans son entrer, de sortir de l'auto et l'eau avait déjà envahit la moitié de son terrain. Oui, oui comme à la télé, avec les gens en canot!! Nous avons donc appelé nos parents pour leur dire :«Maman, chu pris à St-Romuald!! C'est la tempête du siècle!» et ils ont jugé bon de nous répondre :«Ben là pour vrai? Il a à peine mouillé ici à Lévis.» Hé ho!! Vos enfants sont pris quelque part! La Reine et moi avons donc passé 45 minutes chez deux étrangers extrêmement convivial, des gens vraiment gentils qui nous ont donné du café et qui ont eu pitié de nous. Bon, je l'avoue, j'aurais préféré que des pompiers en torse viennent nous secourir du lac dans lequel on était pris mais, dans une situation de crise, on prend l'aide qui passe! Mais on en a tout de même profité pour prendre des photos des gens qui se promenaient dans les rues en «bottes à vache» avec de l'eau jusqu'aux genoux. Je vous le dis, jusqu'aux genoux! Les voisins du couple qui nous a rescapé ont même eu leur sous-sol inondé!
Mais, l'eau a commencé à redescendre, les rues étaient quasi sèches et nous sommes donc retournées paisiblement à notre Lévis natal. Et puisqu'on est dans les confidences, je dois avouer que j'ai aimé cette expérience!! Moi et la Reine étions deux vraies pro de la route, nous prenions des décisions sans paniquer et on a même pas pleuré! Je connais des gars qui auraient pleurniché un brin dans une telle situation! Ou qui aurait pris des décisions de gars comme: «Ben oui manne ta Civic passe salement dans ce trou d'eau-là! Sti t'es un homme, ça passe!» ;)
26 juin 2007
Where in the world is Frisée SanDiego?
Mais c'est que je n'écris plus ma foi du bon Dieu!
C'est que j'ai eu quelques contretemps tels que rester pris dans uns tempête tropicale à St-Romuald (pour vrai!), faire un road trip dans le «Bas-du-fleuve», travailler 35 heures par semaine (ça occupe quant même), sortir à chaque soir (ça, ça occupe), trouver un peu de temps pour courir et me faire les ongles (primordial) et aussi réussir à passer un peu de temps avec Chéri d'Amour qui lui travaille de 60 à 70 heures par semaine.
Alors c'est promis, lectorat adoré, je vais faire tout en mon possible pour vous raconter l'épisode de la tempête tropicale dès la fin de la semaine! C'est trop beau comme anecdote, je sais que vous n'en pouvez déja plus d'attendre!
C'est que j'ai eu quelques contretemps tels que rester pris dans uns tempête tropicale à St-Romuald (pour vrai!), faire un road trip dans le «Bas-du-fleuve», travailler 35 heures par semaine (ça occupe quant même), sortir à chaque soir (ça, ça occupe), trouver un peu de temps pour courir et me faire les ongles (primordial) et aussi réussir à passer un peu de temps avec Chéri d'Amour qui lui travaille de 60 à 70 heures par semaine.
Alors c'est promis, lectorat adoré, je vais faire tout en mon possible pour vous raconter l'épisode de la tempête tropicale dès la fin de la semaine! C'est trop beau comme anecdote, je sais que vous n'en pouvez déja plus d'attendre!
13 juin 2007
Frisée's anatomy
J'ai trouvé une nouvelle raison à ajouter à ma liste des choses qui font regretter d'avoir une vie sociale : Grey's anatomy aussi connue sous le nom de Dre Grey leçons d'anatomie en français et aussi connue dans mon entourage sous le charmant patois de MEILLEURE ÉMISSION EVER QUI TUE LA MORT! C'est ze meilleure émission! Récemment, j'ai passé 4 heures devant mon ordinateur à regarder des épisodes de la saison 1 (gratuits sur Internet!) sur un tout petit écran confortablement installée sur une chaise de bureau. Et bien j'aurais pu continuer 4 autres heures...vraiment facilement.
Pour ceux qui entendent parler de cette chose qui donne un sens à ma vie pour la première fois, il faut savoir que c'est une série américaine qui raconte les déboires médicaux et amoureux de jeunes internes en chirurgie dans un super-hyper-méga hôpital de Seattle. Je ne sais pas trop ce que j'ai avec cette émission-là, la majorité des gens l'écoutent et continuent leur vie sans problème alors que moi il y a le «avant Grey's anatomy» et le «après». Le avant étant constitué d'activités mornes et sans éclats et le après comprenant des crises d'hystérie jouissive devant ma télévision le samedi soir. Non mais pourquoi me tuerais-je à la tâche pour entrer en médecine alors que je n'ai qu'à ouvrir la télé pour voir Meredith et Derek faire une neuro-chirurgie de 9 heures et ensuite aller batifoler sur la banquette arrière d'une luxueuse voiture? Ça, c'est la vraie vie...
Toujours est-il que, comme je le disais plus haut, cette série incroyable fait maintenant totalement partie intégrante de ma vie à un point tel que...j'en rêve la nuit....Bon je sais ça peut paraître un peu troublant. Mais il y a un petit côté vraiment pitoyable à ces rêves car je ne suis pas dedans. Même dans mes rêves, c'est comme si je continuais d'écouter des épisodes! Je ne suis pas là!! Je n'ai même pas la chance de faire un petit massage cardiaque de rien du tout ou même des pauvres points de suture! Et pour le batifolage avec Derek, on oublie ça...
6 juin 2007
Mais que se passe-t-il???
Ça y est!! C'est la consécration! Je suis connue! Je ne suis plus une blogueuse anonyme! Je suis quelqu'un! En effet, j'ai aujourd'hui eu la confirmation que mon lectorat n'était plus constitué que de mes amis proches mais que d'autres vrais blogueurs consultaient ce bijou de blogue qu'est le mien. Bon ok, c'est peut-être juste UNE autre vraie blogueuse...C'est pas la quantité qui compte c'est la qualité mes amis!
Toujours est-il que, comme je le citais plus haut, je suis officiellement devenue membre à part entière de la blogosphère québécoise car....je me suis fait tagué!! Oui mesdames et messieurs une vraie tag de vrai blogue! Tasse-toi la Célibataire Urbaine, c'est moi qui rule la place astheure! C'est la vive-comme-l'éclair Véronique aka Road Runner montréalais ;) qui a cru bon d'assurer mon intégration complète dans la clique des vrais blogueurs. Eh oui, je suis quelqu'un maintenant donc j'ai une clique. Malheureusement je n'ai pas encore été avertie du signe qu'il faut faire avec les mains pour se reconnaître entre vrais blogueurs. Ça viendra j'en suis sûre.
Bon alors j'ai la tag. Et cette fameuse tag implique que je révèle 7 faits inconnus sur moi. 7! C'est autant de place que dans ma mini-van donc ça fait salement beaucoup. Je crois qu'il n'y a pas 7 choses connues à propos de moi. Mais bon les vrais blogueurs ne se plaignent pas.
1-Je me considère vraiment comme une artiste. Je pense que j'ai ce trait distinctif qui fait que je peux vraiment apprécier l'art, faire de l'art et voir le monde sous un autre angle que celui des non-artistes. Je me trouve vraiment bonne. Il faut apprécier un peu le sarcasme ici...
2-Je doute tout le temps. Je doute de moi surtout et je nourris aussi la peur que tous mes amis m'abandonnent. Comme ça bing bang plus d'amis. J'ai peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas être assez bonne, fine, compréhensive pour être leur amie et qu'ils s'en trouvent d'autres. C'est poche n'est-ce pas? Mais bon on a les faits inconnus qu'on peut.
3- Si je regarde l'heure, comme ça par hasard, il y a au moins une chance sur 1/2 chance que je tombe sur l'heure 12:34 ou 1:23 ou 2:34. Je tombe tout le temps sur ces heures là! TOUT LE TEMPS! Et à ceux qui pensent que «j'attends» de tomber sur ces heures-là, genre à 12:32 je fixa ma montre jusqu'à tomber sur 12:34, sachez que c'est faux et que c'est plutôt dû à ma condition spéciale d'artiste!!!
4-Parlant d'heure, je ne peux lire l'heure sur une montre avec des aiguilles. C'est-à-dire que j'en suis quant même capable mais ça me prend une bonne minute avant de déchiffrer ce qu'essaient de me dire la petite et la grande aiguille. Caline plus j'écris ces 7 faits inconnus, plus je me trouve minable..
5- J'ai tenu un journal intime de 7 ans à 15 ans. J'ai arrêté quand ma vie a dégénéré un tantinet (on a tous été adolescents...) parce qu'écrire mes problèmes le soir ça ne me libérait pas du tout, ça me faisait juste les vivre encore plus. Je relis parfois mes cahiers, surtout ceux que j'ai écrit quand j'étais au primaire et c'est SI drôle! La vie était si simple et dénuée de responsabilités! Sérieusement faire mon lit le matin et me laver à tous les jours c'était ça mes responsabilités.
6-Je pleure v.r.a.i.m.e.n.t. d'un rien. J'entends une chanson que je trouve belle ou j'écoute un gala à la télé et je pleure. La pire chose à me faire écouter pour me faire pleurer c'est Les Anges de la Rénovation (l'émission à TVA où ils refont la maison de gens qui font beaucoup trop pitié). C'est si beau le partage, la générosité, c'est si beau!! Et là je pleure avec ma mère dans le divan.
7-J'ai longtemps cru que l'expression «être à voile et à vapeur» ça voulait dire avoir beaucoup d'énergie. Comme dans «mon bateau va très vite car j'ai une voile ET la vapeur». Heureusement, je n'ai jamais utilisé cette espression devant d'autres personnes. Genre je me lève le matin et je dis au reste de ma famille: «J'ai super bien dormi! Je me sens vraiment à voile et à vapeur aujourd'hui!»
Alors c'était mes 7 faits inconnus! Mais là je suis face à un autre dilemne: étant donné que je suis nouvelle dans le monde des vrais blogueurs, je n'ai pas d'amis blogueurs et je n'ai même pas de blogroll. Par amis blogueurs j'entends des gens autres que des blogueurs super connus qui m'intimident tellement que je n'ose pas laisser de commentaires. Non mais je vais pas taguer les Vieux Garçons ou Demetan quant même!! Je vous l'ai dit je ne connais pas encore le signe...
Toujours est-il que, comme je le citais plus haut, je suis officiellement devenue membre à part entière de la blogosphère québécoise car....je me suis fait tagué!! Oui mesdames et messieurs une vraie tag de vrai blogue! Tasse-toi la Célibataire Urbaine, c'est moi qui rule la place astheure! C'est la vive-comme-l'éclair Véronique aka Road Runner montréalais ;) qui a cru bon d'assurer mon intégration complète dans la clique des vrais blogueurs. Eh oui, je suis quelqu'un maintenant donc j'ai une clique. Malheureusement je n'ai pas encore été avertie du signe qu'il faut faire avec les mains pour se reconnaître entre vrais blogueurs. Ça viendra j'en suis sûre.
Bon alors j'ai la tag. Et cette fameuse tag implique que je révèle 7 faits inconnus sur moi. 7! C'est autant de place que dans ma mini-van donc ça fait salement beaucoup. Je crois qu'il n'y a pas 7 choses connues à propos de moi. Mais bon les vrais blogueurs ne se plaignent pas.
1-Je me considère vraiment comme une artiste. Je pense que j'ai ce trait distinctif qui fait que je peux vraiment apprécier l'art, faire de l'art et voir le monde sous un autre angle que celui des non-artistes. Je me trouve vraiment bonne. Il faut apprécier un peu le sarcasme ici...
2-Je doute tout le temps. Je doute de moi surtout et je nourris aussi la peur que tous mes amis m'abandonnent. Comme ça bing bang plus d'amis. J'ai peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas être assez bonne, fine, compréhensive pour être leur amie et qu'ils s'en trouvent d'autres. C'est poche n'est-ce pas? Mais bon on a les faits inconnus qu'on peut.
3- Si je regarde l'heure, comme ça par hasard, il y a au moins une chance sur 1/2 chance que je tombe sur l'heure 12:34 ou 1:23 ou 2:34. Je tombe tout le temps sur ces heures là! TOUT LE TEMPS! Et à ceux qui pensent que «j'attends» de tomber sur ces heures-là, genre à 12:32 je fixa ma montre jusqu'à tomber sur 12:34, sachez que c'est faux et que c'est plutôt dû à ma condition spéciale d'artiste!!!
4-Parlant d'heure, je ne peux lire l'heure sur une montre avec des aiguilles. C'est-à-dire que j'en suis quant même capable mais ça me prend une bonne minute avant de déchiffrer ce qu'essaient de me dire la petite et la grande aiguille. Caline plus j'écris ces 7 faits inconnus, plus je me trouve minable..
5- J'ai tenu un journal intime de 7 ans à 15 ans. J'ai arrêté quand ma vie a dégénéré un tantinet (on a tous été adolescents...) parce qu'écrire mes problèmes le soir ça ne me libérait pas du tout, ça me faisait juste les vivre encore plus. Je relis parfois mes cahiers, surtout ceux que j'ai écrit quand j'étais au primaire et c'est SI drôle! La vie était si simple et dénuée de responsabilités! Sérieusement faire mon lit le matin et me laver à tous les jours c'était ça mes responsabilités.
6-Je pleure v.r.a.i.m.e.n.t. d'un rien. J'entends une chanson que je trouve belle ou j'écoute un gala à la télé et je pleure. La pire chose à me faire écouter pour me faire pleurer c'est Les Anges de la Rénovation (l'émission à TVA où ils refont la maison de gens qui font beaucoup trop pitié). C'est si beau le partage, la générosité, c'est si beau!! Et là je pleure avec ma mère dans le divan.
7-J'ai longtemps cru que l'expression «être à voile et à vapeur» ça voulait dire avoir beaucoup d'énergie. Comme dans «mon bateau va très vite car j'ai une voile ET la vapeur». Heureusement, je n'ai jamais utilisé cette espression devant d'autres personnes. Genre je me lève le matin et je dis au reste de ma famille: «J'ai super bien dormi! Je me sens vraiment à voile et à vapeur aujourd'hui!»
Alors c'était mes 7 faits inconnus! Mais là je suis face à un autre dilemne: étant donné que je suis nouvelle dans le monde des vrais blogueurs, je n'ai pas d'amis blogueurs et je n'ai même pas de blogroll. Par amis blogueurs j'entends des gens autres que des blogueurs super connus qui m'intimident tellement que je n'ose pas laisser de commentaires. Non mais je vais pas taguer les Vieux Garçons ou Demetan quant même!! Je vous l'ai dit je ne connais pas encore le signe...
3 juin 2007
Bienvenue à la maison!
En ces temps d'intense solitude, le Costa Rica, l'Espagne et le travail ayant éloigné de moi tous mes amis, je dois, depuis déjà 2 semaines, compter que sur moi-même pour me divertir, m'épauler, m'écouter et me comprendre. La vie sans amis suit son cours d'une manière assez tranquille quoi qu'assez agréable car j'ai redécouvert le plaisir de faire tout ce que je veux quand je veux. Donc, j'occupe mes moments de temps libre après le travail à la lecture, la course et la confection de muffins nourrissants pour Chéri d'Amour.
Mais, aujourd'hui j'ai trouvé quelqu'un qui saura me réconforter assez efficacement lorsque les temps se feront plus gris (comme quand je repense à ma note de maths...ou pire celle de chimie...ou bien à mon compte de banque). Je l'ai rencontré tout juste ce matin et je n'ai pas pu résister à l'envie de l'avoir pour moi toute seule tout le temps. C'est d'abord sa belle grosse bouille garnie d'une barbe blanche qui m'a séduite chez lui puis, ses oreilles que l'on dirait toujours prêtes à la confidence. Ensuite, c'est définitivement son bonnet rouge qui a achevé de me faire totalement craquer pour lui. Je ne pouvais le laisser là, bien que cela impliquait de l'arracher au restant de sa famille qui vivait avec lui sur l'étagère.
Je vous présente donc mon meilleur ami du moment. C'est en discutant avec lui cet après-midi que j'ai réalisé que les qualités qu'il possédait ne s'arrêtaient pas à son physique croquignolet mais qu'elles s'étendaient aussi à sa personalité charmante, sympathique, avenante et sage.
Malheureusement, je n'ai pas encore réussi à le baptiser...au moment choisi opportun par le destin, son nom me viendra à l'esprit comme par magie.
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